Les employés d’une entreprise sont les premiers amenés à prendre la parole en ligne à propos de leur employeur (positivement ou négativement d’ailleurs). Pour les accompagner et les alerter, il est nécessaire de mettre à leur disposition une charte d’usage des médias sociaux externes et, plus globalement, de sensibiliser l’entreprise aux nouveaux enjeux du numérique.
Le New York Times, fleuron de la presse internationale et très innovant sur Internet avait prévenu : ils allaient rendre payants une partie de leur contenu pour trouver enfin un modèle économique viable. L’annonce a été faite et a fait réagir. Le système de paiement proposé par le NYT est plutôt complexe et les habitudes de gratuité prises par les consommateurs difficiles à remettre en question.
En mars, le gouvernement rendait publique une étude faite par le cabinet américain McKinsey sur l’impact d’Internet sur l’économie française. Au programme, un panorama des usages français (plutôt en avance), de la croissance du secteur (forte) et d’un retard à l’innovation. Le tout saupoudré sans doute aussi d’un peu de lobbying pour les gros acteurs publicitaires comme l’explique Olivier Ezratty.
Microsoft lance son site IE6 Countdown pour pousser les internautes à passer aux versions suivantes d’Internet Explorer. A l’heure de la sortie officielle de IE9 des petits malins ont déjà lancé à leur tour IE9 Countdown.
Pas encore de commentaire pour Vu sur le web 23 : charte médias sociaux, monétisation du New York Times et impact économique d’Internet… : faut s'y mettre !
Le GPS, porté par les smartphones, accompagne désormais les déplacements à pied comme en voiture. Pour l’instant difficilement utilisable en intérieur pour des raisons techniques, il se voit maintenant épaulé par d’autres technologies pour accompagner les utilisateurs au sein de lieux publics ou de manifestations d’envergure. Revue de l’art par GeoInWeb.
Pour les défenseurs d’un webdesign maîtrisé et épuré, le site Cdiscount a de quoi empêcher de dormir. Pourtant son efficacité n’est plus à prouver. BlogoErgoSum décortique comment Cdiscount recrée la sensation d’une fouille aux bonnes affaires en ligne. La preuve qu’un design n’est bon que dans son contexte et en fonction des objectifs qu’il se fixe.
Rétrospective sur les 3 dernières années de Facebook
Facebook par ci, Facebook par là. 3 ans que le géant du social occupe toute la scène. Le moment d’une rétrospective nécessaire sur ces forces et faiblesses menée par Fred Cavazza. Non Facebook n’est pas mort mais ses erreurs de jeunesse persistent.
« Chez les hommes, la proportion de non-utilisateurs est nettement plus importante que chez les femmes. Autre fait marquant : les femmes sont beaucoup plus nombreuses à être des multi-utilisatrices très investies dans plusieurs plateformes que les hommes. »
Norbert, consultant, nous donne les clés essentielles pour « gagner en maturité sur cette approche ROIste transversale du leadership digital » sur CaddE-Réputation : Kit de survie du (bon) consultant en e-réputation
Bonnes pratiques
37 Signals affiche le degré de satisfaction de ces clients : smiley.37signals.com
A l’occasion du SXSW, Samsung fait un mur événementiel en ligne : samsungsxswi.com
Renault crée un mur d’idées reçues autour du véhicule électrique : earthhour.fr
Que voilà un nom barbare pour renouveler le concept de Social CRM et qui deviendra sans-doute vite un nouveau buzz-word. Pourtant c’est l’occasion de rappeler la différence d’échanges qu’implique la présence des marques sur les médias sociaux. Non il ne s’agit pas de publicité, non il ne s’agit pas uniquement de visibilité ou d’une base de contacts à arroser de promotions !
Au nom de la chasse au terrorisme et à la pédophilie, les gouvernements (notamment français) tentent de mettre en place des politiques de verrouillage et de contrôle en ligne qui paraitraient impensables ailleurs. Jean Marc Manach revient pour OWNI sur l’historique de cette mise en place.
De l’inutilité d’un site vitrine sans contenus et services
Luc-Olivier Lafeuille fait un rappel connu mais nécessaire sur l’inutilité d’une présence sur le web dite « vitrine ». Mettre en ligne un contenu minimaliste agrémenté de quelques jolies photos reprises de la plaquette, c’est ignorer comment les internautes vont rejoindre votre site et avec quelle motivation.
Lors de la conception d’une interface Web, on tente de s’adresser efficacement à « l’internaute » sans jamais réellement savoir qui compose cette foule de visiteurs anonymes et aux motivations variées. La méthode des personnas (qui n’est pas nouvelle) introduit en phase de conception des profils humanisés d’internautes représentant la variété des profils de visite. En donnant une identité aux internautes, on parvient mieux à les maintenir aux centres des choix faits.
Social Media Week : le monologue des experts en conversation
A force de parler de médias sociaux, on oublie ce que ça signifie. Et en fait de social, on remet en place sur ces nouveaux territoires numériques les réflexes de tous les médias avec : ceux qui parlent, ceux qui filtrent et la nombreuse foule anonyme de ceux qui écoutent. Est-ce cela aujourd’hui l’internet social ?
Le « taux de rebond » indique le pourcentage d’internautes qui n’ont vu qu’une page d’un site web. Au centre des web-analytics, cette donnée est devenue un indicateur de référence pour mesurer la performance d’un site. Mais son analyse doit être correctement menée car sa valeur optimale dépend fortement du type de sites ou de pages que l’on observe. Explications en image.
La « Kakonomie » ou le Low-Low exchange qui rend l’Internet médiocre
Et si La Sagesse des foules avait tout faux. Si dans la majorité des échanges, les deux parties nouaient un accord implicite pour faire du médiocre en prétendant faire de la qualité. Et enfin si cela devait nous expliquer pourquoi Internet regorge de contenus et de conversations insipides.
Si on commence à tirer sur le fil rouge des algorithmes, on se rend compte qu’ils déterminent de plus en plus de choses dans nos vies. Pas seulement les échanges commerciaux ou le niveau de remboursement de nos pensions de retraite… Ils déterminent également la valeur de l’immobilier, ce qu’on regarde à la télé, le prix des produits, ce que nous mangeons, comment nous circulons, ce qui va nous arriver, la manière dont sont conçues les chansons, ce que nous allons voir au cinéma, ce que nous lisons, le titre des livres que nous lisons, ce que nous pensons de ce que nous lisons….
Kevin Slavin, cofondateur de Zynga
Mieux vaut en rire
besoin de réaliser au plus vite une présentation creuse qui en jette : adoptez le PipoTronic
Bonnes pratiques
Google crée l’évenement au World Mobile Congress avec des… pin’s : vanksen.fr
Wanderfly propose une interface de recherche de voyages très visuelle : wanderfly.com (via @FredCavazza)
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Tandis que les médias traditionnels comptent sur l’Ipad pour monétiser efficacement leurs contenus, AOL acquiert des géants du contenu en ligne (Huffington Post, Techcrunch). Fred Cavazza y voit le retour à une juste valorisation du contenu, levier central (trop souvent délaissé) des services en ligne, de leur identité et de leur modèle économique.
Le gouvernement fédéral américain publie sa stratégie Cloud Computing
Le « cloud » (buzzword informatique pour signifier que les contenus et services sont hébergés dans des data-centers externes et partagés entre utilisateurs) a le vent en poupe. Si d’un côté il est employé à tout-va par les commerciaux et les start-up, de l’autre il effraie encore les directions informatiques peu enclines à expatrier leurs données. Ce document, pragmatique et complet, émis par le gouvernement américain à destination de ces agences fait un point salvateur sur le sujet, présenté par Louis Naugès.
Avez-vous entendu parler dernièrement de « curation » ou de « curator » ? Retenez-le : il s’agit du dernier mot à sortir en apéritif blogueurs ! Rien de neuf pourtant sinon l’invention de ce mot pour désigner un besoin aussi vieux que le web : celui d’identifier, de filtrer et de répertorier les contenus web intéressants. Ou l’on redécouvre que le web est une nébuleuse et qu’il faut des « curators » comme il faut des « publishers ».
Dans la série des mots à là mode, celui de « sémantique »a sans doute perdu de son aura. La faute peut-être au fameux « web sémantique » prédit depuis dix ans, mal compris et jamais vu à l’œuvre. Pourtant le domaine connait des avancées tant en méthode qu’en outils. Laurent Assouad nous explique les différentes couches de métadonnées qui peuvent compléter et rendre exploitables un contenu et nous annonce là naissance de « l’enrichissement sémantique ».
Nous sommes donc rentrés dans une nouvelle société, que je propose d’appeler « la société de l’interaction et de la complexité ». Pour gérer cette société, nous avons besoin d’un outil qui nous permet de rester efficace, et de ne pas nous laisser déborder par la complexité du monde. Ce n’est pas par hasard si Internet s’installe.
GreenPeace fait du crowdsourcing / crowdfunding pour le nouveau Rainbow Warrior : explications (via @Vanksen)
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