Extension du domaine, c’est la lutte !

par Thomas Fourdin, le 29 avril 2007

En pratique, enregistrer un nom de domaine c’est réserver un vocable (ou « intitulé » ou « racine ») sous une extension donnée. C’est la mise en oeuvre d’un double choix : je choisis de déposer le terme « thomas-fourdin » sous l’extension .net.

Chaque extension est régie par son propre organisme (appelée registre), définit ses propres critères d’obtention et délimite un espace de nommage particulier.

Principalement, on sépare les extension en deux catégories :

Mais comment lit-on une extension, que révèle-t’elle en définitive ? Malheureusement la lecture possible est multiple :

Les sous-extensions : pour complexifier encore le choix de l’extension, certains registres d’extensions géographiques ont, de plus, mis en place des sous-extensions à la manière des génériques : par exemple, il est impossible d’enregistrer un nom de domaine directement en .uk (Royaume-Uni) mais il faut choisir de s’enregistrer dans une sous-extension comme .co.uk (pour les entreprises commerciales anglaises), .org.uk (pour les associations du Royaume-Uni) , etc.

A la lecture de tout ça, je vous propose un petit exercice pour la semaine prochaine : je suis une entreprise anglaise qui vend en ligne des séjours touristiques à destination de tous les résidents de la communauté européenne, quelle extension dois-je choisir pour héberger mon site Internet accessible depuis les équipements mobiles ? à vos commentaires…

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